C'est la reprise !
DU CHANGEMENT ...
Suite à quelques impératifs techniques et constatant par ailleurs
des résultats très très surprenants et pour moi "indéchiffrables",
je suis contraint de CESSER TOTALEMENT L'ACTIVITE AUDIOTEL;
Hippiquement vôtre
Sur Twitter, les réactions "à chaud" !
Sur ce site, des articles sur l'actualité sportive hippique... et des vérités que vous ne lirez nulle part ailleurs.
Sur
Audiotel,
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Notre équipe de journalistes passionnés vous propose de tout savoir sur ce monde des courses où le silence est d'or ! Dans la plupart des médias, c'est la langue de bois, l'omerta...
Ici, rien de tout cela. Les articles de fond de Patrick Lanabère sur les grands sujets qui font débat, ont un seul objectif : que les turfistes passionnés puissent tout savoir. En s'appuyant sur...
LA VÉRITÉ, maître mot, trop souvent oublié par une presse devenue... "attachée de presse" !
Si de trop nombreuses courses hippiques ne sont que des épreuves loteries de faible niveau, il existe de vrais événements, avec des chevaux de qualité. De vrais sportifs, chevaux et cavaliers, à traiter comme tels...
Ici, en direct avec l'actualité et les pistes, vous saurez tout des compétitions de bon niveau, mais aussi des "faits divers" que vous ne lirez nulle part ailleurs. La liberté de penser, la liberté de communiquer, de vous livrez nos analyses sans aucune censure, c'est ici, sur VÉRITE COURSES !
PRONOSTIQUEUR, un métier !
À entendre et voir les pronostics sur les écrans divers ou réseaux sociaux, on se rend compte qu’ils sont désormais devenus une affaire d'imposteurs. N'importe qui, SANS AUCUNE référence devient "pronostiqueur !
Il n'y a plus de concours comparatifs pour mesurer la qualité des journalistes... Et sans devoir de résultat, moins de rigueur...
Patrick Lanabère a été multiple champion de France des pronostiqueurs quand les médias osaient se comparer aux autres !
Et surtout notre technique de pronostics est le fruit d'une expérience de 30 années de pratique, d'une connaissance parfaite des acteurs de ce milieu très fermé.
Ce qui permet de détecter les meilleures chances mais aussi d'écarter les "mauvais favoris" à savoir les candidatures les moins fiables...
Aux courses, combien de parieurs perdus par manque de transparence ?
Les enjeux connaissent une baisse alarmante qui met directement en cause les dirigeants sur les choix stratégiques des dernières années. Nous avons été les premiers à alerter en toute indépendance sur cette gabegie...De nombreuses règles, concernant les jeux hippiques, doivent changer car elles ont fait fuir les parieurs au fil des années. Les dirigeants, pourtant alertés dans ces colonnes depuis longtemps, ont préféré demeurer dans leur tour d’ivoire et ne pas entendre… Avec une conséquence majeure : un ressenti d’injustice (en de nombreux domaines) auquel les turfistes ont répondu par une lassitude ayant (trop) souvent dérivée vers une abstention partielle, voire totale pour certains, partis vers d’autres “loisirs”. Nous avons de nombreux exemples ou témoignages de parieurs ayant considérablement réduit leur budget jeu, voire quitté la sphère hippique par manque de confiance.
Les sujets d’inquiétude sont multiples et devront être corrigés si la filière hippique ne veut pas couler ! Dopage, régularité des compétitions, conditions de courses, allocations, transparence, attitudes des professionnels, de la presse hippique... Une sorte d’état des lieux de la filière hippique est indispensable, afin de participer au débat nécessaire à mettre en place si l’on veut réellement ne plus jouer à l’autruche et sortir notre milieu de l’omerta dans laquelle il s’est installé pour laisser sous le tapis tout ce qui ne va pas... Les événements ou règles qui ont fait fuir la clientèle hippique, ou qui empêchent une nouvelle clientèle de se constituer, nécessitent des modifications, telle la simplification du Quinté. Les pratiques décriées décrites ici, sont, parmi d’autres, insupportables pour un parieur : une évidence qui échappe jusqu’à présent aux organisateurs. Les solutions sont pourtant simples, pourvu que l’on fasse preuve d’une certaine logique.
03/01/2018
Pour maintenir une image qui a fait la gloire des courses (c'est un jeu où il y a des données à étudier, et donc une base hiérarchique des compétiteurs), il faut un minimum de logique dans les résultats. Pourtant, quel dirigeant a osé se mettre à la place d’un parieur face à des courses -notamment sur d’autre continents- avec des chevaux et même des jockeys ou drivers inconnus, sur lesquels nous n’avons aucune performance, aucune référence. On a ainsi peu à peu glissé vers de la loterie... Car comment encore appeler jeu “intelligent” (qualificatif qui donne aux courses hippiques une crédibilité dans la société) une telle proposition ? Autre effet négatif de ces courses “loterie”, le risque de compétitions “arrangées”. Comment en effet garantir aux joueurs une garantie totale avec des allocations ridiculement basses pour les acteurs ? On pense aux courses de certains pays frontaliers (on se souvient de l’affaire de Mons) dont les dotations aux accessits (quelques centaines d’euros...) sont si faibles qu’il ne paraît pas difficile de proposer aux protagonistes une somme équivalente ou supérieure... pour ne pas disputer l’arrivée !
Les parieurs ont d’autant plus facilement ce raisonnement à l’esprit que l’on a passé des années à leur expliquer que la motivation des professionnels français était due aux allocations élevées, dissuasives pour les esprits malhonnêtes ! Où est donc la cohérence politique dans tout cela ?
02/01/2018
Ce sera peut-être un peu difficile à très court terme (avec une légère baisse du chiffre d'affaires) mais largement bénéfique sur le moyen et long terme. Car sinon, la légère baisse sera boule de neige et le processus est déjà enclenché avec de nombreux parieurs perdus pour la cause. N’est-pas cela envisager et prévoir l’avenir ? Il faut aussi accroitre les plus faibles allocations si l’on veut maintenir certaines épreuves PMU, notamment en Belgique et en Allemagne, pays où les bookmakers sont nombreux. L’on sait ce que cela a donné par le passé, avec de nombreuses COURSES TRUQUÉES. Faire l’autruche et ne pas en tirer les leçons n'est pas raisonnable !
À trop jouer avec le feu...
01/01/2018
Jugez plutôt: deux chevaux appartiennent à deux associés (comme par exemple les célèbres Almanzor et La Cressonnière à Messieurs Augustin-Normand et Caro pour moitiés). Logiquement, et comme on le ferait tous afin de partager le plaisir de la casaque, l’un est sous les couleurs de M. Caro, l’autre sous celles de M. Augustin Normand. Avec l’ancien système, si ces deux là se rencontrent (cela aurait pu arriver dans l’Arc), ils feraient logiquement “écurie”, d’autant qu’ils dépendent du même entraîneur. Mais comme le nouveau et aberrant système ne prend en compte QUE les “couleurs”, les concurrents répondants au profil décrit ne font plus écurie... alors qu’ils défendent les mêmes intérêts !
Malgré l’abstention de ces deux champions, le sujet fut d’actualité dans le dernier Arc, car les trois premiers appartiennent quasiment aux mêmes associations autour de M Tabor et Magnier. Un exemple révélateur du côté incompréhensible de la chose.
Les exemples sont multiples, et quasiment quotidiens, au galop comme au trot. Allez ensuite expliquer aux parieurs que tout est “normal”, alors que l’on est à l’opposé d’une prétendue transparence indispensable pour capter et fidéliser une clientèle.
Ayant évoqué l’ARC 2016, les dirigeants doivent aussi rapidement se pencher sur le problème du cheval de jeu (N°12 dans l’Arc) qui n’a la plupart du temps aucune chance et qui est distribué en toute “”légalité” dans le système “Spot”. Avouez que parler de légalité quand on vous distribue un ticket unitaire qui, avant le coup, n’a aucune chance de gagner, a de quoi discréditer toute l’activité.
31/12/2017
À savoir regrouper les intérêts propriétaires communs à une hauteur raisonnable (25%), ainsi que les représentants d’un même entraînement, limités à trois, ce qui aurait aussi l’avantage de répartir les effectifs plutôt que de les concentrer chez quelques-uns, une tendance fâcheuse du moment aux multiples effets secondaires...
Concernant les chevaux de jeu (leaders) là aussi la solution est simple : ne pas attribuer de dossard, donc pas de numéro, au(x) leader(s) déclarés puisqu'ils ne sont pas là pour participer à l'arrivée et défendre leurs chances, ce qu'impose les articles des codes courses galop et trot. "Tout concurrent au départ doit défendre ses chances, tout faire pour participer à l'arrivée, etc..."